Atka a écrit:
steph31 a écrit:
Atka a écrit:
Bonsoir, pas sur une queue de cochon a déjà le pas a l'envers
Un foret est toujours plus facile à trouver qu'une queue de cochon, d'ou l’intérêt d'avoir un pas de vis à l'envers.
Je taquine un peux Steph, je m'occupe, mais l'intérêt d'une queue de cochon n'est pas seulement son pas a l'envers s'est aussi qu'il est conique et que dans sont évolution de travail il est exerce une pression constant et croissante sur la mèche de vis restante.
Bonjour
Les extracteurs de goujon, ce n’est pas toujours la solution .
Bien souvent, la vis de remorquage lorsqu’elle se brise, c’est qu’elle a subie une torsion. La resultante est que la partie mâle filetée de la vis est faussée et même un extracteur de goujon n’en viendra pas à bout.
Dans ce cas, il est préférable par passe de 0,5 mm de percer avec plusieurs mèches et de s’approcher du diamètre de perçage.
Généralement en passant les tarauds, l’ancien filetage sort.
Ça nous est arrivé sur un support inférieur d’amortisseur d’une ancienne. Le restant de la vis d’une dureté 12.9 a dû être percée avec des mèches au cobalt à deux pentes. On a pris comme d’hab la marque Titex.
Il faut privilégier les queues de cochon à faible pente. Ceux à pas rapprochés, en acier rapide à fort teneur en carbone et grosse pente coincent et cassent en exerçant un effort sur les extérieurs comme déjà souligné.
Nous ne savions pas que sur les vis des œillets de remorquage, les pas sont à gauche ...