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 Sujet du message: L'Algarve en hiver en Calif
MessagePosté: 14 Fév 2015 20:06 
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Inscription: 12 Juil 2014 16:01
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Localisation: Condroz Belgique et Tarn France
Après immatriculation toute récente de notre nouveau Calif, le moment était venu pour les premières expériences.
Hélas, l’hiver est là, et le temps grisâtre se prête peu aux envies d’escapades. Un coup d’œil sur les sites météo du net, ceux à plus long terme, nous confirme que les deux semaines à venir, au moins, s’annoncent tout à fait vivables…en Algarve.

Voici un CR sommaire de notre voyage. Je n’ai pas passé mon temps à mettre des photos de carte postale : vous connaissez tous le Portugal, ses murs blancs, ses toits rouges, son ciel bleu… Vous trouverez sans doute plus intéressant de trouver des endroits où camper, et nos impressions sur l’Algarve au mois de janvier.
Et pour plus de détails sur le baptême du Calif tout neuf, voir viewtopic.php?f=17&t=5367 .

Samedi 17/01, nous faisons comme des débutants, l’inventaire des nombreuses choses à emporter pour un trip de 2 à 3 semaines, mais l’enthousiasme n’y est pas. Le ciel grisâtre y est pour quelque chose…

Dimanche 18/01 matin, nous complétons l’inventaire, et finalement nous décollons en début d’après midi. En route vers la Champagne où nous pensons pouvoir passer la première nuit.
Vers 17h30, le jour tombe déjà et nous nous mettons en chasse pour un spot de camping. En France, nous avons toujours eu l’habitude soit de faire du camping sauvage (facile avec notre Landcruiser et sa cellule Azalai) soit de nous arrêter à une adresse recommandée par France Passion.
Nous sommes au sud d’Epernay, et nous nous arrêtons donc chez un vigneron, malheureusement absent, recommandé dans le guide France Passion. Une affiche renseigne « Installez-vous dans le pré, nous nous verrons demain matin… ». Il fait gris, pisseux, et le pré est détrempé et en pente. Après quelques essais, nous décidons de passer notre chemin. Lorsque je vois les ornières que nous laissons dernière nous, je me dis que le 4motion aura déjà bien servi. Nous reprenons alors la route jusqu’à Marcilly sur Seine où nous avons déjà logé plusieurs fois sur un petit parking, près du pont, le long d’un quai qui, en été, sert d’escale aux plaisanciers en eau douce.
Nuit tranquille, mais frisquette. Le chauffage stationnaire est essayé en position 1, comme préconisé sur le site, toit non relevé. Notre première nuit à 2 au RDC. Finalement, ce n’est vraiment pas un matelas king size mais cela va, alors que nous sommes plutôt habitués aux lits d’1,80m. Le chauffage est génial, mais la toilette du lendemain sera néanmoins sommaire, compte tenu du gabarit intérieur disponible. Définitivement, le camping sauvage sera plus agréable en été…

Nous reprenons la route, passons nos premiers 500 kms au compteur, et poussons jusqu’à Concèze, près de Arnac Pompadour et Lascaux, et atterrissons chez un producteur de fruits affilié à France Passion. Parking impeccable, accueil parfait, achat de quelques jus de fruits et confitures. Nous recevons en prime un choix de pommes toutes plus succulentes les unes que les autres. Nous sommes franchement séduits. Rien à voir avec ce qu’on trouve dans le commerce, chez nous. WC et douche sont disponibles, quoique mis hors gel pour l’instant. Mais cela reste bon à savoir pour une autre fois. Cette nuit, il aura neigé un peu. Mais de nouveau, le chauffage du Calif a été efficace, et contrairement à mes craintes, il ne consomme que 20 % de mes batteries auxiliaires sur une période de 12 heures (avec frigo et éclairages divers).
Bon, on va le trouver ce beau temps ? Nous reprenons la route, traversons le Périgord puis les Landes et décidons de passer par Saint Jean Pied de Port puis le col vers Pamplune, pour voir… Route tout à fait praticable, col enneigé, et chutes de neige sur la fin, mais nous sommes déjà sur le versant espagnol et à quelques kms de Pampelune. Nous tombons alors sur une aire réservée aux pèlerins de Saint Jacques de Compostelle, tout simplement le long de la route : WC ultra propres, eau courante, pelouse et bancs. Bon à retenir pour une prochaine fois (42°51’9.63’’ N, 1°34’59.55’’O). Un peu de trafic la nuit, mais cela se passe bien. Il fait très froid.

Nous dépassons Pampelune, et entre Logrono et Burgos, nous dégustons une bonne tempête de neige. Le Calif, avec ses 3 tonnes, ses pneus neige et son 4motion est imperturbable. Mais les camions obstruent la route et il faut attendre des tronçons droits pour les doubler. Le Calif fait enfin ses premières liaisons, plus au sec, par autoroute entre Burgos, Salamanca et Guarda au Portugal. Impeccable, toujours entre 2000 et 2400 rpm, il ronronne discrètement et permet des dépassements en toute sécurité. Réserve de puissance et freinage sont bien là. Pourvu que cela dure. Par contre, sur autoroute, nous sommes bien au dessus des 10 l/100kms…. Le rodage ?
En attendant, la nuit tombe et nous voilà égarés au pied de la Serra da Estrela, dans des petites routes en lacets, dans des vallées perdues, des bleds déserts… et des campings fermés. Après 4 essais, nous trouvons enfin un camping en plein hivernage, désert, près d’une cascade toute proche. Pas terrible. Mais après avoir laissé couler l’eau de la douche pendant 10 minutes, elle finit par arriver chaude. Ouf ! Il fait nuit. Il ne nous faut rien de plus que cette tranquillité et des sanitaires convenables. Nous sommes donc à Ponte das Tres Entradas (40°18’25.64’’N, 7°52’18.27 ‘’O). Cela a l’air très fréquenté en été, vu le nombre de bungalows et caravanes en hivernage.

Le Portugal a un système assez spécial pour le péage de certaines autoroutes. Avant Guarda, nous avons dû faire une lecture de notre carte VISA. Une camera lit le n° de plaque du véhicule et établit une corrélation entre les deux. Si j’ai bien compris, en pratiquant les autoroutes suivantes, des caméras vous suivent et débitent votre compte au fur et à mesure. Cela m’a eu l’air tellement bizarre que nous avons préféré éviter toutes les autoroutes portugaises pour le reste du voyage, d’autant que le Guide du Routard a des commentaires peu amènes sur les péages (chers) en question.

Toujours est-il que, par les routes IC ou autres, nous avons rejoint Nazaré, dont j’avais des souvenirs aussi lointains qu’agréables.
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A Viséo, au dessus de Nazaré, nous trouvons un camping ORBITUR, dans les pins, très bien équipé, mais désert.
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Nous sommes à 2 kms à pied de Viséo, ce qui nous permettra de nous dérouiller les jambes, et de visiter Viséo et Nazaré de fond en comble, seuls. Pas plus de touristes que de soleil, mais une température très douce, et une impression d’authenticité qui ne doit pas se retrouver en juillet-août. Nous cherchons un restaurant convenable, mais, cela se vérifiera les jours suivants, les bons restaurants ne sont pas légion. Pas chers non plus (12 à 15€, vins compris). J’avais de meilleurs souvenirs culinaires d’expériences précédentes…. Nous restons 2 nuits.

Puis, le 24/01, nous repartons par les nationales, contournons Lisboa, Setubal et la côte, pour atterrir dans un petit patelin absolument superbe, en bord de mer, et sous un soleil magnifique. Nous sommes à Porto Covo, au sud de Sines. Mignon tout plein, maisons blanches, ciel bleu et mer émeraude. La carte postale. De nouveau, nous trouvons un superbe camping tout beau, tout propre, et désert, à 10€ tout compris tarif-hiver (37°51’07.80’’N, 8°47’12.72’’O). Promenades le long des plages et rochers. Petits restos et bistrots. Nous sommes le WE, et quelques portugais sont arrivés pour aérer leurs petites villas. Il y a donc un semblant d’animation. Nous restons 2 nuits, tout confort. Il fait 15° le jour et 5 à 8° la nuit. Pas de quoi retirer le pull, sauf en plein soleil. Mais nous essayons enfin le lit du 1er étage, d’abord à deux la première nuit, puis seul la seconde.
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Le 26/01, nous plongeons vers l’Algarve. Plein sud vers la pointe de Sagres. A midi, nous sommes à Aljézur et trouvons enfin un excellent petit resto sans prétention, près du pont. En guise de digestif, nous montons visiter la forteresse maure et le vieux village. Tous seuls dans les ruelles. Idéal. Puis nous reprenons le Calif, contournons Sagres et filons vers Portimao. La concentration en British et Hollandais a fortement augmenté. Portimao est urbanisé à mort, mais nous traversons, piquons vers la côte et parvenons à trouver un super spot pour du camping sauvage au bord des falaises, au pied du phare (farol de Alfanzina) du Cabo de Carvoeiro, dans les buissons sur un semblant de parking évidemment désert.
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J’hésite presque à vous passer le tuyau… C’est là : 37°05’15.49’’N, 8°26’33.50’’O. Coucher de soleil sublime, paix royale, et le lendemain, promenade pédestre superbe dans les calanques entre plages et falaises, avec de nombreuses grottes et avens un peu partout, où explosent les vagues. Eau transparente, et sable propre. Tout autour, il y a des villas plutôt cossues mais discrètes au fond de leurs jardins. Il reste peu de terrain inoccupé, ce qui nous confirme le bol que nous avons eu de trouver ce spot. Température idéale de 18 à 19° le jour et 8° la nuit.

Nous sommes le 27/01 et nous reprenons la route vers l’est. Nous longeons la côte après un petit détour à l’intérieur du pays vers Silves, Alte, Querença, Loulé, Barranco, Sao Bras puis retour vers la côte pour finir à Fuzeta, un sympathique petit port envahi de gros blancs. Au passage, je signale que depuis Portimao, nous trouvons tous les beaux sites, équipés de parkings, partiellement envahis de motorhomes principalement anglais, français et allemands. Cela reste supportable, quoique peu discret. Mais on ne peut reprocher à ces (généralement) retraités, de venir chauffer leurs vieux os au soleil. Le Portugal est d’ailleurs très accueillant par rapport à cette population de retraités qui, mobiles ou sédentaires, empêchent la désertification totale de leurs villes du sud, pendant l’hiver. Il suffit de voir les exonérations d’impôts pour résidents européens…
Bon, Fuzeta est un peu trop encombré à notre goût, et nous sommes partants pour du camping en pleine nature. Nous trouvons notre bonheur dans les salines voisines, au milieu des flamands roses. Il suffit de continuer vers Tavira, passer le pont sur la route nationale, prendre la troisième petite route à droite, et on y est. Comme par exprès, il faut passer sous le chemin de fer, dans un petit tunnel de 210 cm de haut et de large, ce qui limite le passage des gros blancs, mais pas des Califs. Lalalère… Le bled s’appelle Arroteia Baixo.
Nous logeons sur un petit chemin en cul de sac, dans la lagune à sec le soir, sous eau le lendemain matin. Beaucoup d’oiseaux. Pas un bruit. Le calme total. Le rêve. De nouveau, j’hésite, mais comme je suis partageur, voilà les coordonnées : 37°03’38.43’’N, 7°44’07.10’’O.
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Le lendemain, visite de Tavira, puis retour sur « notre » spot, toujours aussi désert, pour une deuxième nuit aussi tranquille que la première. Mais au lever, l’horreur, il y a un léger voile nuageux !
Le temps se couvrira de plus en plus toute la journée. Nous décidons de remonter la vallée du Guadiana qui fait la frontière avec l’Espagne. Il faut quitter la nouvelle grand-route et suivre l’ancienne route, bien plus typique, qui surplombe la rivière. De nombreux voiliers, dont beaucoup d’anglais, sont amarrés dans ce fleuve encaissé, et cela au moins jusqu’à Alcoutim, loin à l’intérieur des terres. C’est surprenant.
Nous visitons longuement Mertola, ancienne ville arabe, puis Serpa, où nous logerons au camping, pas terrible. Je vous passe la nuit mémorable : gastro aussi soudaine que violente qui me fait douter de l’hygiène très relative d’un restaurant de Mertola où nous avons pris le repas de midi. Cela d’autant plus que mon épouse y passe elle aussi le lendemain.

Nous sommes tous deux patraques, et décidons de rentrer cocooner dans une petite maison que nous avons dans le Tarn. C’est parti ! Non sans visiter au passage les superbes villages de Moura, Mourao, et surtout Monsaraz, où le temps jusque là printanier, est définitivement foutu. Il y a un vent de tempête. Il pleut. Tout est fermé sauf quelques rares bistrots.
Du haut des remparts, je repère un endroit super pour camper, près du nouveau lac de barrage au pied de la ville. Avant que la nuit tombe, nous descendons prospecter et trouvons un passage carrossable vers une petite presqu’île où nous passerons la nuit. De nouveau, le spot de rêve : 38°25’33.70’’N, 7°22’54.66’’O, quoique probablement moins désert en été (sur Google Earth, la photo date de juillet…).
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Le 31/01, nous repartons vers Badajoz, sous le soleil, mais le vent est toujours là. De Burgos à Vittoria, nous retrouvons la neige, idem à San Sebastian, puis plus sérieusement encore entre Bayonne et Tarbes. Temps plus calme à Toulouse où nous arrivons en début de nuit.
Le lendemain, il fait tout blanc dans le Tarn. Image

Quelques jours plus tard, nous rentrons en Belgique, après 13 nuits à bord et quelques 5000 kms au compteur, et l’intention de remettre cela l’an prochain, en Algarve, et en hiver… C’est tout à fait jouable. La preuve…

Pour plus de photos, voir: https://picasaweb.google.com/lfalfa7/

Cordialement,

Luc

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California Comfort, biturbo 180cv, 4motion, DSG7, 01/2015, VENDU


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MessagePosté: 14 Fév 2015 23:03 
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Merci pour le complément et les photos !

Ça fait envie, et ça met un peu de soleil au cœur de l'hiver !

Luc :wink:

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200 nuits à 4 en 180 DSG7 Confortline (Vendu)
Tout à écrire en Coast 150 BVM 4RM Bloc Diff
Et aussi un peu en VU 140 4RM
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MessagePosté: 15 Fév 2015 08:51 
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Très beau voyage, merci pour le compte-rendu, les photos (belles lumières!) et les coordonnées GPS! :idea: :wink: :cool:

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Le CriticakouaBeach- T5 California Beach - avril 2015 - 140ch - CG 6 - 4M - Bloc diff - 143 000 km - 280 nuits (19 nuits en 2023)
Le Califakouatique- T5 Calif Confort - 2005 - 130ch - CG 5 - 248 nuits entre 2008 et 2015 - vendu à 146 000 km

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MessagePosté: 15 Fév 2015 09:06 
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Joli voyage, merci du partage !

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Talou - calif confortline140 CV - juillet 2014 - La vie en Calif, je kiffe ! 65500 km
Projets à venir : Grèce, Irlande, Ecosse,
Au quotidien : Pyrénées, Alpes, Occitanie, Corrèze, Cevennes...et pis tant d 'autres...


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MessagePosté: 16 Fév 2015 08:46 
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Inscription: 04 Sep 2014 11:24
Messages: 268
Merci beaucoup pour le partage en effet. Très sympa, avec de nouvelles idées de virées et de lieux où dormir.
Ca avait l'air bien chouette.

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T5 California Beach de février 2015 - 2.0l TDI 140 cv - 4Motion
49 000 km
Notre beach...


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MessagePosté: 16 Fév 2015 12:47 
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Localisation: près d'Annecy 74.Haute-Savoie.
Bonjour et un grand merci pour ce partage… cela donne l'envie d'y aller … et superbes photos… quelle lumière !!!

Philippe

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California Confort de 2010.Beige métalisé.102cv.Porte vélo fiamma.Store noir.Calicap.STICKERS du collectif devant/derrière. 553 nuits à bord...au 31/12/2023.


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MessagePosté: 04 Mar 2015 18:25 
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Messages: 95
Localisation: Catalogne nord
Merci des photos et du partage !

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T4 Multivan westfalia


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MessagePosté: 06 Mar 2015 17:24 
Départ lundi prochain pour une ballade de 3 semaines à travers l'Espagne et le Portugal. Merci pour les tuyaux :wink:


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MessagePosté: 06 Mar 2015 18:31 
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Inscription: 23 Nov 2013 12:19
Messages: 647
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Pourtant il fait beau en Corse :wink:

Luc :wink:

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MessagePosté: 06 Mar 2015 19:59 
VWay of Life a écrit:
Pourtant il fait beau en Corse :wink:
Luc :wink:

Pas vraiment en ce moment. (voir Corse-matin) Mais comme d'habitude, j'y serais le mois de juin entier. :smile:


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